Ca y est me direz-vous, voilà qu'il se plaint ! Et bien pas tout à fait. Mais je me suis fait une petite virée en librairie (restons sérieux, tout de même) et non content d'avoir reçu de Véro "Une exécution ordinaire" (euh... pas d'arrières-pensées envers son vénéré rédac'chef adjoint, j'espère !), je me suis pris "Achever Clausewitz" de Girard (non, pas question d'euthanasier ce bon vieux Carl von C.). Tout ça avec une chronique stratégique de l'année en route et un bouquin à parachever, ça ne fait pas très sérieux. Mais on ne se refait pas, après tout.
Plus sérieusement, j'ai eu de très bons commentaires sur Achever Clausewitz. Mon interlocuteur me l'avait décrit comme assez ardu, tendant vers l'épistémologie. Des 3 premières pages lues en prenant l'apéro ce midi, la prose vole assez haut, de fait, mais reste claire. Le questionnement lui-même est terriblement concret. Voilà qui justifiera très certainement une critique de lecture dans le DSI de décembre.
Ceci dit, mes potes m'ont offert une petite merveille : une de ces machines expresso qui vous préparent de petites bombes caféinées comme je les aime et Madame Athéna m'a offert un Palm, histoire que je sois un peu plus à l'heure (pour faire la vaisselle, par exemple : c'est étonnant cette résilience que j'ai à l'égard de la vaisselle). Qui a dit que le temps objectif était incompressible ?
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
2 commentaires:
Mince alors... je suis un convaincu de la pensée girardienne qui fut un des grands ébranlements de mon existence, et voilà que je découvre ce bouquin que je n'avais jamais remarqué...
Alex
On ne se flagèle pas, Alex : il vient juste de sortir en France ;o)
Enregistrer un commentaire