DSI est fréquemment revenu sur les évolutions de la stratégie navale américaine. Ici, le CNO américain effectue une partie de la présentation sur laquelle nous reviendrons dans le prochain DSI :
samedi 24 novembre 2007
vendredi 23 novembre 2007
Le Tigre est libéré
C’est finalement le 16 novembre 2007 – toujours à temps pour célébrer le centenaire de l’hélicoptère – qu’a été officiellement mis en service l’hélicoptère de combat Tigre au 5ème Régiment d’Hélicoptères de combat de Pau (l’appareil équipait déjà l’école franco-allemande du Luc).
Programme lancé en coopération avec l’Allemagne en 1987 (sur base d’un besoin isolé… à la fin des années 1970 et à la suite de l’échec, en 1986 d’une joint-venture devant le satisfaire), l’appareil avait effectué son premier vol en 1991.
Livrés fin juin 2007, les deux premières machines du 5ème RHC ont rejoint les nouvelles installations logistiques de la base, d’un coût de 40 millions d’euros, et conçues de façon à ce qu’un incendie ne puisse endommager qu’un seul hélicoptère.
D’un coût estimé à 19 millions d’euros à l’unité, le Tigre a été commandé par la France (82 exemplaires), l’Allemagne (80), l’Espagne (24) et l’Australie (22). L’Arabie saoudite serait également intéressée par la machine.
Programme lancé en coopération avec l’Allemagne en 1987 (sur base d’un besoin isolé… à la fin des années 1970 et à la suite de l’échec, en 1986 d’une joint-venture devant le satisfaire), l’appareil avait effectué son premier vol en 1991.
Livrés fin juin 2007, les deux premières machines du 5ème RHC ont rejoint les nouvelles installations logistiques de la base, d’un coût de 40 millions d’euros, et conçues de façon à ce qu’un incendie ne puisse endommager qu’un seul hélicoptère.
D’un coût estimé à 19 millions d’euros à l’unité, le Tigre a été commandé par la France (82 exemplaires), l’Allemagne (80), l’Espagne (24) et l’Australie (22). L’Arabie saoudite serait également intéressée par la machine.
Le résultat du raid israélien
Ces deux photos sont récemment apparues sur le net et représenteraient le site syrien attaqué par la Heyl Ha'Havir en septembre, et monreraient, à droite, l'étendue des dommages.
En tout état de cause, si nos confrères d'Aviation Week indiquent qu'il s'agirait d'un réacteur nucléaire, la seule présence du bâtiment ne confirme pas cette hypothèse : on ne voir ainsi aucun bâtiment des auxiliaires.
En tout état de cause, si nos confrères d'Aviation Week indiquent qu'il s'agirait d'un réacteur nucléaire, la seule présence du bâtiment ne confirme pas cette hypothèse : on ne voir ainsi aucun bâtiment des auxiliaires.
jeudi 22 novembre 2007
Un peu de lecture pour les soirées d'hiver
Et voilà, le T&A de décembre-janvier est bientôt bouclé, le DSI de décembre tourne sur les rotatives, celui de janvier progresse comme il doit et, comme on dit outre-atlantique, "la redaction save the day". Ouf ;o) Tout cela pour dire que je viens de recevoir "La guerre probable", du général Desportes, un ouvrage qui devrait faire parler de lui à pas mal d'égards - surtout, je l'espère, en bien.
C'est clair, préçis et la thèse défendue ne manquera pas d'animer les débats stratégiques en cours - d'autant plus qu'elle est très solidement argumentée. Bien sûr, elle en fera râler plus d'un. Mais bon, sinon, on ne serait plus dans un débat et ce serait, vous le reconnaitrez, profondément ennuyeux.
Et à ceux qui diront qu'il est un indécrottable défenseur de l'engagement au milieu des populations et de la préparation face à la guerre asymétrique, il faut tout de même avouer qu'il a, à l'égard des engagements "possibles à plus long terme" une posture spécifique : il ne nie donc pas cette possibilité mais part du principe - assez sain - que s'il faut attendre demain pour faire face à la symétrie, il faudra toujours survivre à aujourd'hui et à l'asymétrie.
Je n'ai pas encore terminé l'ouvrage (critique dans le DSI de janvier) mais les pistes qu'il dessine pour se jouer de cette dichotomie parfois franchement abusive font franchement avancer les choses et, à tout le moins, réfléchir.
D'ici là, croisez les doigts : Véro part en mission sur Paris demain pour la rubrique "unité" de janvier. On espère ne pas la retrouver en hypothermie et affamée, bloquée quelque part dans une grève ;o)
C'est clair, préçis et la thèse défendue ne manquera pas d'animer les débats stratégiques en cours - d'autant plus qu'elle est très solidement argumentée. Bien sûr, elle en fera râler plus d'un. Mais bon, sinon, on ne serait plus dans un débat et ce serait, vous le reconnaitrez, profondément ennuyeux.
Et à ceux qui diront qu'il est un indécrottable défenseur de l'engagement au milieu des populations et de la préparation face à la guerre asymétrique, il faut tout de même avouer qu'il a, à l'égard des engagements "possibles à plus long terme" une posture spécifique : il ne nie donc pas cette possibilité mais part du principe - assez sain - que s'il faut attendre demain pour faire face à la symétrie, il faudra toujours survivre à aujourd'hui et à l'asymétrie.
Je n'ai pas encore terminé l'ouvrage (critique dans le DSI de janvier) mais les pistes qu'il dessine pour se jouer de cette dichotomie parfois franchement abusive font franchement avancer les choses et, à tout le moins, réfléchir.
D'ici là, croisez les doigts : Véro part en mission sur Paris demain pour la rubrique "unité" de janvier. On espère ne pas la retrouver en hypothermie et affamée, bloquée quelque part dans une grève ;o)
mardi 20 novembre 2007
Interview : statut du programme nucléaire iranien
Il y a quelques temps de cela, Pierre Babey était venu faire un tour à la rédaction, histoire de venir parler un peu du programme iranien et de ses répercussions internationales. Le sujet est passé hier au Soir 3 de Marie Drucker (visionnage en ligne possible) avec, en prime, l'interview de François Géré... et une vue de la rédaction ;o)
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