Juste une réflexion en passant : "l'arc des crises" est un lieu commun, qui part grosso modo du Maghreb pour atterrir quelque part en Asie centrale. Je crois que l'expression est inappropriée, ou plus exactement incomplète.
Il en existe un autre, qui part du Caucase, qui recoupe le premier au niveau du Moyen Orient, qui se poursuit dans la péninsule arabique et qui se termine quelque part du côté du Kénya. Une "croix des crises", en somme...
mercredi 17 novembre 2010
mardi 16 novembre 2010
Vanité, quand tu nous tiens
Allez, un peu de vanité ne peut pas faire de tort (mais juste un peu, alors) : Olivier m'a fait une petite critique de lecture de La résilience dans l'antiterrorisme, , ce qui, je l'avoue, me fait plaisir.
Au-delà du contentement de l'auteur (soyons honnête), il y a aussi le fait que l'ouvrage, qui était destiné à faire débat en une matière tout de même bien peu explorée malgré la centralité qu'il a gagné dans le dernier LBDSN, a suscité assez peu de réactions. Certes, quelques académiques m'ont indiqué avoir apprécié, voire bien aimé. Mais, par ailleurs, j'ai eu assez peu de retours... Etonnant.
Faut-il y voir une certaine gêne à l'égard d'un concept qui a "fait le buzz" mais sans guère avoir été défriché préalablement (les articles portant dessus se comptent sur les doigts d'une main, en France, ces cinq dernières années) ?
Au-delà du contentement de l'auteur (soyons honnête), il y a aussi le fait que l'ouvrage, qui était destiné à faire débat en une matière tout de même bien peu explorée malgré la centralité qu'il a gagné dans le dernier LBDSN, a suscité assez peu de réactions. Certes, quelques académiques m'ont indiqué avoir apprécié, voire bien aimé. Mais, par ailleurs, j'ai eu assez peu de retours... Etonnant.
Faut-il y voir une certaine gêne à l'égard d'un concept qui a "fait le buzz" mais sans guère avoir été défriché préalablement (les articles portant dessus se comptent sur les doigts d'une main, en France, ces cinq dernières années) ?