Selon le Times, l’Argentine s’engage dans une politique de prise de contrôle du trafic entre les îles Malouines/Falklands et le continent, se positionnant ainsi de façon à pouvoir mener un véritable blocus.
C’est la conséquence d’un décret promu par la présidence de Buenos Aires, selon lequel tout navire naviguant dans les eaux revendiquées par l’Argentine doit avoir un permis donné par Buenos Aires.
Ce mouvement argentin intervient après l’envoi par la Grande-Bretagne d’une plateforme de prospection pétrolière – la zone pouvant contenir des gisements estimés à 60 milliards de barils (à titre de comparaison, la mer du Nord a produit jusqu’ici 40 milliards de barils).
Pour l’heure, un destroyer, 300 soldats et 4 Eurofighter sont présents aux Malouines, un responsable britannique indiquant qu’en 1982, seuls 50 Royal Marines étaient présents dans les îles. Les Malouines ont été occupées par la Grande-Bretagne depuis 1833 et sont depuis lors revendiquées par l’Argentine.
Au final, force est également de constater que l’affaire tombe bien pour la Royal Navy qui se bat toujours pour avoir deux porte-avions, soit des bâtiments sans lesquels l’opération Corporate, en 1982, eut été impossible.
En 1982 l'intervention anglaise avait un coté de "bricolage de génie", (raid aérien sur l'aéroport de port stanley complexe, cargo porteur de harrier) traduisant aussi bien la projection) de telle distance que le déficit capacitaire anglais.
RépondreSupprimerQuand serait-il aujourd'hui et qu'elles sont les capacités militaires argentines pour appuyer leurs déterminations ?
En 1982, il y avait un peu plus que 50 Royal marines, les Argentins ayant attaqué en pleine rotation de troupes.
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