Au-delà de la mise en service des « destroyers » Kongo et Atago (Cf. la fiche technique que nous leur avions consacré mais aussi l'article de fond paru dans le DSI de septembre) et des deux commandes de missiles SM-3, le développement de la défense ABM japonaise vient de connaître une évolution notable avec le premier test en condition opérationnelle de cette combinaison.D’une valeur de 55 millions de dollars, ce test a permis au Kongo d’intercepter avec succès un missile de moyenne portée lancé depuis Kauai (Hawaii). Le bâtiment est ensuite retourné au Japon et, selon les autorités, va à présent participer activement à la protection de l'archipel.
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