On connaissait les difficultés techniques auxquelles fait face le programme Alliance Ground Surveillance, lequel doit permettre à l'OTAN de disposer d'un pool de drones RQ-4 et d'Airbus A-321 spécialement modifiés pour emporter le radar SOSTAR.
Mais il semble que ces difficultés soient à la source de sérieuses remises en question à Paris. On nous rapporte ainsi que la France pourrait - le conditionnel est de mise - être amenée à se retirer du programme (et donc de son financement, presque 100 millions d'euros) prochaînement.
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